Réflexion sur la Classe D Audion

L’amplification en classe D …

OUI … MAIS…

L’amplification en classe D par Alberto GUERRA

Du « Crin crin » à la Musique …

J’ai toujours eu des réserves sur le son des appareils en classe D, qui selon les productions proposées donnaient des résultats musicaux aux performances sonores très variables, dont certains étaient in-écoutables pour qui fréquentait une salle de concert ou côtoyaient des instruments de Musiques….

Pour ce qui me concerne, dans la majeure partie des cas, les appareils fonctionnant en classe D, délivrent globalement un son uniforme et certains… « font mal aux oreilles après une écoute prolongée ».

Même si des efforts ont été réellement faits par les constructeurs dans ce domaine en introduisant des lampes pour humaniser le discours musical, rien n’y fait vraiment pour ce qui me concerne… je reconnais toujours le son des deux grands fabricants de cartes fournisseurs de la classe D et leur texture musicale quelque soit l’enveloppe de l’amplificateur qui les adopte.

L’amplification en classe D selon Alberto GUERRA

Et puis est arrivé ALBERTO GUERRA avec son module basé sur le principe de la classe D modifié par les apports technologiques de cet ingénieur venant de la division industrialo-militaire spécialisé dans les radars. Passionné de musique il a développé ses investigations dans ce domaine à partir de ses recherches basées s ur les Mosfet au Nitrate de Gallium.

Et alors la « lumière fut »… Enfin on découvre dans ses appareils travaillant en classe D des timbres qui rappellent le son des meilleures lampes, des graves et des basses dignes des meilleurs transistors, une dynamique qui ne casse plus les oreilles et une image sonore holographique parfaite avec un son d’une neutralité qui exalte la musique.

C’est cela qui a motiver le petit memo écrit sur la classe D autour des arguments qui ont été longtemps les miens  et le changement qu’il m’a été donné de vivre. On assiste en effet à une REVOLUTION engendrée par le travail et les résultats apportés par AGD dans ce domaine.

Qu’on se le dise…

C’est  enfin un véritable changement, une évidence, une EVOLUTION notoire plus encore : UNE REVOLUTION tel qu’en son temps la lampe ou le transistor… Qu’on se le dise.

Les blocs d’amplifications AGD sont universels, puissants, avec un son majestueux qui timbre juste, des machines de rêve, des bêtes à musique, capables, quelque soit le morceau écouté, dans traduire parfaitement sa musique. Tout cela en font des concurrents redoutables dans le monde des plus grands de la haute-Fidélité !

J’ai toujours cherché dans le domaine de la création a marier la perfection technique et la beauté de l’objet.

Ma passion de la musique et la recherche de sa reproduction fidèle ont orienté mes recherches vers la meilleure réalisation possible. 

Le progrès et l’innovation technologique la plus avancée sont au cœur de tous les développements de mes recherches. Ils aboutissent à des conceptions innovantes au service se nouveaux produits pour partager la passion qui m’anime.

Alberto GUERRA ADG Productions

 

1-De la boite à savon au produit de luxe.

Les appareils de classe D se sont rapidement multipliés en raison de leur puissance affichée et délivrée par une carte son de petite taille.

Grâce à  des coûts de production bon marché ils offraient un prix très abordable pour  des amplis puissants qui se miniaturisaient par rapport à certains mammouths du marché. On pouvait rêver et réaliser une chaîne à bon prix!

Les constructeurs adoptant ce principe ont essayé de répondre aux critiques formulées et ont sans cesse chercher à améliorer leurs produits, notamment dans un domaine ou tout nouveau venu laissait apparaître des perspectives intéressantes qui répondait totalement à la demande du public audiophile : Grave et Transparence.

Ainsi aujourd’hui les cartes son de Classe D de nouvelles générations ont évolué et dans certaines marques d’amplificateurs se sont vu adjoindre  des tubes pour la pré amplification. Ceci pour obtenir des amplis qui transcrivent un son « plus civilisé et moins rude ».

Enfin le plan esthétique à réellement progresser  pour effacer l’image de la « boite à savon » de certains modèles et leur donner des lettres de noblesse ou en faire un objet de luxe augmentant ainsi le prix du produit bon marché d’origine.

Bref la Classe D s’est civilisée pour séduire le monde des mélomanes, si ce n’est par le son, par une esthétique de bon goût.

Cartes amplificateur Classe D de fabrication HYPEX et ICE

2-De nouvelles exigences sonores

Ce nouvel arrivant a eu néanmoins l’avantage de faire bouger les lignes pour ce qui concerne deux critères concernant l’écoute en haute fidélité : le grave et la clarté du message sonore.

(Vous pourrez, par une approche particulière de ces points, consulter la rubrique « Points de Vue » au bas de la page d’accueil de notre site Pointmusiques.fr

Le  mythe du grave.

En effet après une période de recherche du grave à tout prix, devenu le credo de certains audiophiles, (qui sans doute, faute de découvrir et d’avoir vécu un grave dans une salle de concert), pensaient que leur matériel allait leur faire entendre et vivre un « vrai grave »  grâce aux potentiomètres de leur machines à sons.

Il semblait, que grâce à la puissance de la classe D on allait enfin entendre un plus grand et plus beau grave en fonction de la chaîne mise en compétition, que la puissance offerte par la classe D allait enfin répondre aux phantasmes attendus en termes de boum-boum et gagnerait sans doute une compétition qui avait peu à voir avec la musique.

La classe D, faute de pouvoir répondre à l’objectif, a permis de réduire et de relativiser les choses.

La recherche de la transparence.

Ce phénomène « grave » néanmoins toujours présent, a pris des proportions plus musicales dues à l’espace restreint des appartements des villes. Les salons à vivre n’avaient pas toujours les 50 ou 70 m2 nécessaires pour absorber la puissance des amplis et exploiter les enceintes en place. Ce qui renforçait l’impression de « graves » maigrelets. 

On s’est alors trouver une nouvelle marotte vite érigée comme nouveau canon de la haute-fidélité : La transparence.

La transparence certes est une donnée importante mais de quelle transparence s’agit-il ?

Un nouveau débat et une nouvelle polémique naissait alors…

Ce qui a d’emblée enthousiasmé les partisans de la classe D,  repose quant à moi, sur une séduction de la transparence « nouvel eldorado » à découvrir et « conquérir ».

Tous les appareils travaillant en Classe D mettent immédiatement en valeur dès la première écoute une  capacité à faire ressortir un sens du détail qui a  tendance à faire apparaitre une transparence du message.

Mais lors d’une écoute prolongée ce qui apparait au départ comme un élément et un point qui peuvent sembler positifs s’avère vite être en réalité liée à une insuffisance et une pauvreté harmonique.

3- Une image tronquée de sa réalité.

En effet il apparait qu’à force de vouloir être transparent ou accentuer la transparence on change l’écoute réelle de la musique de tout ce qui fait sa richesse.

On décharne en effet la richesse harmonique du message et la réalité musicale de cette transcription qui ne sait plus faire revivre pleinement et réellement la musique.

Et c’est toujours ce qui me bloque dans l’écoute d’une classe D qui me semble être destinée à « entendre de la musique sur le pouce » au fil des écouteurs d’un baladeur, dans l’autobus ou ailleurs afin de passer le temps et non pour « jouir de La Musique ».

Cette écoute me prive de cette perception et de cette sensation de plénitude dans ce que doit traduire et faire vivre la musique jouée. Il n’y a pas de chaire sur l’os, il est poli, lisse, poncé jusqu’à la moindre âpreté ; Ce qui donne une musique décharnée … et donc « sans musique réelle ». Elle ne donne qu’une musique qui me met mal à l’aise

C’est la richesse sonore d’une reproduction qui nous aide à découvrir et profiter de l’œuvre. On distingue les nuances de la réalité musicale.

Cette sensation de grande transparence résulte à mon sens au final d’une simplification du contenu musical, et d’une  soustraction de détails qui donnent alors une image claire ou les nuances sont écartées et n’apparaissent plus pour donner de percevoir l’image réelle.

Certes on a obtenu une belle image mais une image fausse de la réalité et qui est sans doute une des causes de la fatigue auditive que l’on peut ressentir au bout d’un certain temps d’écoute, ou l’aigu devenant trop présent à l’oreille entend marquer une limite.

Malgré des efforts et des recherches louables chez certains constructeurs la classe D me laisse toujours hermétique à sa musique.

4- Me penitet coulpae mea….

“Je me repends de ma faute ».

Force est de constater que cette règle  de grammaire latine depuis un mois me va comme un gant.

Après avoir rédigé un certain nombre de lignes pour vous expliquer : pourquoi je n’adhérais pas à la classe D… l’honnête m’oblige à vous dire, qu’après un mois passé aux écoutes des blocs AGD pour écrire les articles d’analyse et leur présentation, j’ai opéré un virage à 180 degré qui ne tient pas du « miracle » mais de la « redécouverte de la musique ».

J’ai dû en effet revenir sur mes certitudes concernant la Classe D telle que l’envisage et la traite AGD … et … pas qu’un peu.

C’est une vraie DECOUVERTE … une REVELATION …

une REVOLUTION… dans le monde de la transcription musicale.

A tel point que j’en ai fait l’acquisition personnelle…

Oubliez ce que j’ai écris et que je vous ai imposé à ces lectures car avec la technologie développée par Alberto Guerra autour du GanTube la module classe D n’est plus la classe D…

Je pense véritablement au long fil de mes écoutes qu’une nouvelle ère s’ouvre dans la reproduction musicale et offre un nouveau standard de référence comme l’ont été le Tube ou le Transistor avec les classes A ou B.

 

Le module proposé par Alberto GUERRA est un clin d’oeil au tube mais n’en est pas un…Sa recherche tient au creux de la main.

Enfin un véritable changement, une évidence, une EVOLUTION notoire et plus encore :

UNE REVOLUTION telle qu’en son temps la lampe ou le transistor… Qu’on se le dise.

– Les blocs d’amplifications AGD sont :

– Universels, puissants
– Majestueux et timbrent juste
– Des machines de rêve

– Des bêtes à musique, capables quelque soit le morceau écouté, d’en traduire sa musique avec maestria.      

Tout cela en fait des concurrents redoutables dans le monde des plus grands de la haute-Fidélité !                                 

Nous espérons que la lecture des comptes rendus d’écoutes que nous en avons fait à Point Musiques saura vous donner l’envie et le goût de prendre rendez-vous pour une écoute personnalisée.

  

Les produits de la gamme AGD : ANDANTE – AUDION – VIVACE et VIVACE GRANDE

viennent de se voir décerner le titre de lauréats 2020 « Six Moons » et  « Blue Note Awards»

Titre qui récompense les meilleurs produits examinés au cours des 12 derniers mois de l’année.

Félicitations Monsieur GUERRA.

Point Musiques a été choisi  pour être l’ambassadeur des produits AGD

pour  la région Centre, l’Ile de France,  Nord et le Nord Est.

Nous aurons plaisir à vous accueillir pour une écoute personnalisée.

Vous découvrirez ces réalisations hors normes qui bouleversent le monde

de la Haute-Fidélité. 

 

POINT MUSIQUES : LA COMPETENCE ET LA CONNAISSANCE MUSICALE

POUR VOUS GUIDER ET VOUS ACCOMPAGNER DANS VOS CHOIX.